14 SUPERCARS OUBLIÉES ET OBSCURES

Ce sont les 14 super cars les plus oubliées et les plus obscures jamais produites. Si vous aimez conduire vite et que vous avez les compétences nécessaires pour conduire une voiture rapide et puissante, l’un de ces véhicules pourrait être pour vous. Chacun d’eux a un héritage durable dans l’industrie automobile.

• Noble M600

L’expansion des super cars dans les années 2000 a apporté de nombreuses machines intéressantes et puissantes. La plupart des modèles de ces dernières années sont tristement célèbres, c’est pourquoi de nombreux passionnés de voitures en sont conscients. Cependant, quelques modèles sont passés inaperçus malgré leur puissance et leur rapidité. Et l’une de ces voitures est la Noble M600. En fait, Noble est devenu célèbre pour avoir produit des voitures extrêmes en utilisant des composants d’autres fabricants. Étant une entreprise automobile britannique, les gens les considéraient comme une usine de voitures en kit. Cependant, ce n’était pas vrai, mais cela a affecté leur réputation sur le marché des super cars. Cependant, ils ont brisé cette réputation en proposant le modèle M600. Cela montrait de quoi Noble était capable sur le marché des super cars. Ils ont utilisé un V8 de 4,4 litres de Volvo et y ont boulonné deux turbocompresseurs pour atteindre 550 ou 650 ch.

Et ils ont installé ce moteur dans un châssis léger et élégant. L’idée derrière la M600 était de produire une pure super car sans aucune aide électronique inutile pour offrir l’expérience de conduite la plus pure possible. Cela a rendu la M600 effrayante à conduire, mais aussi une expérience extrêmement amusante et inoubliable. En utilisant les 650 chevaux, le M600 peut grimper à 100 km/h en seulement 3,0 secondes et dépasser 350 km/h. Malheureusement, malgré son apparence et ses performances exceptionnelles, les acheteurs de super cars grand public ont évité ce modèle. Même si Top Gear l’a présenté dans son émission et a loué ses qualités, peu de gens en ont entendu parler. La M600 est toujours en production, donc si vous voulez être le fier propriétaire de l’une des super cars les plus pures et les plus rapides d’aujourd’hui, soyez prêt à payer plus de 200 000 $.

• Alfa Romeo TZ3 Stradale

Vous vous demandez peut-être pourquoi cette liste comporte une Alfa Romeo, car Alfa est une usine bien connue qui ne produit pas de super cars. Cependant, ils ont créé un modèle si étrange, obscur et rare qu’il convient à cet article. Ils ont introduit l’Alfa Romeo TZ 3 Stradale en 2011 avec seulement neuf véhicules. Cependant, le nom TZ est présent dans l’histoire d’Alfa depuis les années 1960, lorsqu’ils ont produit plusieurs voitures de sport et de course. Et ils comprenaient le TZ 1 et le TZ 2. Le « T » est pour Tubulaire et le « Z » est pour Zagato, la maison de créateurs. Pour renouer avec son glorieux passé de course, Alfa Romeo a présenté en 2011 un modèle de production limitée appelé TZ 3 avec une carrosserie Zagato. Le public automobile a été surpris lorsqu’il a vu le nouveau modèle car Alfa n’avait pas le châssis ou le moteur pour un tel projet.

Lorsqu’ils ont annoncé les spécifications, le secret a été révélé. L’Alfa Romeo TZ 3 était une Dodge Viper ACR-X de la génération précédente dans une version préparée pour la piste. Alfa a habillé la Viper d’une carrosserie Zagato mais a laissé intacts les composants mécaniques importants et l’énorme moteur de 8,2 litres. Même l’intérieur était le même, sauf que le badge était Alfa Romeo au lieu de Dodge. Le TZ 3 avait une performance de super car avec ses 600 CV, un temps d’accélération de 3,4 secondes de 0 à 100 km/h et une vitesse de pointe de 320 km/h. Malgré le costume italien raffiné, le moteur V10, la dynamique de conduite parfaite et le nom légendaire, Alfa n’a réussi à vendre que neuf exemplaires. Aujourd’hui, seulement dix ans après sa sortie, presque personne ne se souvient de l’Alfa Romeo TZ 3.

• Venturi 400 GT

Ce n’est pas une surprise si vous ne connaissez pas Venturi. Il s’agissait d’une petite entreprise automobile française active dans les années 1990. Utilisant des composants d’autres constructeurs automobiles et produisant leurs propres carrosseries et châssis, Venturi a présenté plusieurs belles voitures rapides. Venturi a marqué l’histoire des super cars obscures avec son magnifique modèle 400 GT du milieu des années 90. Visuellement similaire à la Ferrari F40, la Venturi 400 GT avait également un moteur bi-turbo. Mais dans le cas de Venturi, il s’agissait d’un Peugeot V6 de 3,0 litres qu’ils ont pompé pour produire 400 ch en version route. En version course, il était capable de plus de 600 CV. Avec toute cette puissance de feu, la 400 GT pouvait accélérer à 100 km/h en 4,6 secondes et dépasser 290 km/h. Et c’était plus rapide que les Porsche et Ferrari de l’époque.

La Venturi a participé à de nombreuses courses dont celle du Mans. Il avait même sa propre série de courses où de riches amateurs pouvaient rivaliser avec leur Venturi dans des match-races. Malheureusement, la réalité financière a rattrapé les grandes ambitions de Venturi. Ils ont fermé l’entreprise, d’abord en 1997, puis à nouveau en 2000. Venturi a réussi à produire moins de 100 modèles de la fantastique 400 GT, qui s’est perdue dans les couloirs du temps.

• Lister Storm

La société Lister était célèbre pour être une entreprise de course. Ils ont préparé des voitures de course pour de nombreux constructeurs traditionnels comme Jaguar, Maserati et Chevrolet. Mais au milieu des années 90, Lister a décidé de fabriquer sa propre super car en utilisant un moteur Jaguar V12 hautement préparé. Leur idée derrière la super car était de présenter un coupé Grand Tourisme à quatre places brutalement rapide. Il serait capable de battre des records de vitesse et de transporter des passagers tout en confort. Lister a appelé le nouveau modèle le Storm et il disposait d’un moteur V12 de 550 CV. Ils ont dérivé le moteur de 7,0 litres d’une voiture du Mans. Lister a fabriqué sa propre carrosserie, qui comportait une large voie pour accueillir les pneus larges. Il avait beaucoup de scoops et de spoilers pour un meilleur refroidissement et un meilleur aérodynamisme.

Dans le même temps, Lister proposait la Storm en tant que voiture de tourisme à près de 450 000 $, ainsi qu’une version course pour les équipes privées. Cependant, malgré une puissance brutale, 4,0 secondes pour les 100 km/h et plus de 335 km/h en pointe, seuls quatre clients l’ont commandé. La raison en était que certaines personnes pensaient que la voiture était agressive, voir moche. De plus, bien qu’il s’agisse d’un quatre places, il n’avait pas beaucoup d’espace à l’intérieur.

• Ascari KZ 1

Au début des années 2000, l’Ascari était sur le point de devenir la prochaine grande nouveauté du segment des super cars. Malheureusement, cela ne s’est pas concrétisé, et tout ce qui reste de cette entreprise intéressante est le modèle KZ 1. La KZ 1 est entrée sur le marché automobile en 2004. Elle présentait un style cool et une construction solide avec une coque en fibre de carbone. Ils lui ont donné un moteur S62 V8 de la BMW M5 E39, qui produisait 400 ch. Le KZ 1 était léger et équilibré, il s’est donc bien comporté. L’accélération de 0 à 100 était possible en 4,0 secondes, tandis que la vitesse de pointe était de 320 km/h. Les spécifications et les caractéristiques et les magazines populaires ont également contribué au battage médiatique.

Mais quand ils ont révélé les prix, le KZ 1 s’est pris le mur. Ascari a évalué cette voiture à 400 000 $, ce qui était plus que la Ferrari ou la Porsche comparables. L’étiquette de prix a scellé le destin de la KZ 1. Ils ont arrêté la production quelques années plus tard après n’avoir construit que 10 modèles.

• Panoz Esperante GTR-1

Si vous êtes un enfant des années 90, vous vous souvenez probablement de la Panoz Esperante GTR-1 des jeux de course cultes comme Gran Turismo ou Midtown Madness. Cette super car américaine était le sujet de conversation de la communauté des courses à la fin des années 1990. Cependant, malgré ses débuts prometteurs, Panoz n’a construit que quelques versions de course et un exemplaire homologué pour la route. La technologie derrière l’Esperante était là clairement à des fins de course. Il avait une structure de carrosserie à cadre spatial, des panneaux légers et deux sièges. De plus, ils ont installé un moteur avant monté vers le milieu de la voiture pour une meilleure répartition du poids. L’avant caractéristique de la voiture était aérodynamiquement efficace, même si ce n’était pas si attrayant.

Sous le capot se trouvait un V8 construit par Roush et dérivé de Ford avec plus de 500 cv, accouplé à une boîte de vitesses séquentielle. Panoz a couru avec succès l’Esperante sur de nombreuses pistes de course à travers le monde. Cependant, ils n’ont réussi à construire qu’une seule version pour la route. Mais, il y a une rumeur selon laquelle la société construira une nouvelle Esperante GTR-1 homologuée pour la route pour environ 1 million de dollars.

• TVR Speed 12

L’une des super cars les plus folles et les plus rares est la TVR Speed ​​12. TVR l’a basée sur le coupé TVR Cerbera du milieu des années 90. La Speed ​​12 était la version ultime d’un développement de châssis et d’ingénierie pour tester les limites de la puissance et de la vitesse sur le marché des voitures de série. À l’époque, TVR avait beaucoup d’expérience en course. Ainsi, l’entreprise voulait voir ce qu’elle pourrait faire si elle concentrait toutes ses ressources sur un modèle de course/de route ultra-rapide. Ils ont construit la Speed ​​12 en pensant aux réglementations de course de la FIA. Bientôt, ils ont présenté le premier et le seul prototype. Il avait un moteur V12 de 7,7 litres capable de délivrer près de 1 000 chevaux.

Le reste de la voiture était destiné à la course pure avec un châssis léger, une boîte de vitesses séquentielle et un ensemble aérodynamique actif. La performance était terrifiante. La Speed ​​12 pouvait accélérer à 100 km/h en moins de trois secondes et dépasser largement les 320 km/h. Malheureusement, TVR a annulé la production pour deux raisons. Tout d’abord, la FIA a modifié les exigences de la catégorie, rendant la Speed ​​12 obsolète. Deuxièmement, la direction de l’entreprise craignait que la voiture ne soit trop rapide pour la route et que les conducteurs se tuent en la conduisant.

• Jaguar XJR-15

Cette liste a déjà inclus la fantastique super car Jaguar XJ220, souvent mal comprise. Mais ce n’était pas le seul modèle sportif à grande vitesse et à faible production de la célèbre marque britannique dans les années 90. La seconde, la XJR-15, était beaucoup plus rare et oubliée. À la fin des années 80 et au début des années 90, Jaguar a eu beaucoup de succès en endurance et au Mans. Pour commémorer la voiture gagnante, Jaguar a décidé de produire une série limitée de voitures de sport spéciales dotées de la technologie de course.

Bientôt, ils ont présenté le XJR-15. Encore une fois, c’était une voiture de course pour la route avec un V12 de 6,0 litres. C’était aussi proche d’un moteur de course que possible. Jaguar l’a associé à un châssis de compétition, une suspension et une transmission appropriés. Le résultat était de 450 CV et un temps de 0 à 100 km/h de 3,5 secondes. La production a commencé en 1990 et s’est terminée en 1992, période au cours de laquelle Jaguar a construit 53 exemplaires à près de 1 million de dollars chacun.

• Bristol Fighter

En 2004, Bristol a décidé d’introduire un nouveau modèle avec des performances sans compromis et un design frais. Et c’est ainsi qu’est né le Bristol Fighter. Ils ont construit le châssis sur mesure avec une carrosserie spéciale comportant des portes papillon et un long capot. Bien que le design du Fighter ne ressemble pas aux autres voitures Bristol, il porte la tradition d’utiliser des moteurs Chrysler.

Mais le meilleur de tous, cette voiture de sport a un V10 de 8,0 litres de Dodge Viper développant 525 CV. Avec des temps d’accélération de 0 à 100 km/h d’environ quatre secondes et des vitesses de pointe de plus de 320 km/h, c’était l’une des voitures les plus rapides à l’époque. Cependant, la politique de Bristol et son refus de vendre de nombreuses voitures ont pris fin en 2011 lorsque l’entreprise a fermé. Apparemment, ils n’ont construit que 13 châssis, n’en livrant aucun aux États-Unis.

• Jaguar XJ13

Au milieu des années 60, Jaguar voulait faire de la course, mais ils avaient besoin d’une nouvelle voiture moderne. Et, il devait être beaucoup plus avancé que le coupé sport E-Type qu’ils proposaient pour le moment. C’est pourquoi ils ont conçu le projet secret XJ13. Jaguar voulait produire une super car à moteur central avec une unité V12 à l’arrière. De plus, il devait avoir un style aérodynamique et des performances sublimes.

Malheureusement, ils n’ont terminé qu’une seule voiture, de sorte que le projet n’a jamais démarré. Mais une fois que le règlement de la course a changé, la XJ13 est devenue obsolète avant même d’être prête pour la course. Ils ont gratté les plans d’une version d’homologation routière. Malheureusement, la XJ13 est devenue la meilleure histoire « et si » de l’histoire de Jaguar.

• Lotec Sirius

La Sirius est l’une des super cars européens les plus obscures produites par la société Lotec au début des années 2000. Cependant, le prototype a suscité beaucoup d’attention lorsqu’ils l’ont montré pour la première fois en 2001. Mais depuis, les nouvelles sur cette super car folle ont été rares. Certains disent qu’ils n’en ont fait que deux. D’autres encore pensent que le Sirius n’a jamais dépassé le stade de prototype.

Cependant, le Sirius est toujours l’une des machines les plus puissantes et les plus intéressantes du marché. Le cœur est un moteur V12 bi-turbo dérivé de Mercedes qui développe environ 1 300 ch. Avec une transmission manuelle à cinq vitesses et pesant seulement 1270 kg, le Sirius est incroyablement rapide. En fait, un sprint de 0 à 100 km/h prend moins de 3,7 secondes et la vitesse de pointe est de 458 km/h incroyable.

• Dome Zero

Vous vous souvenez peut-être de cette voiture si vous avez grandi à la fin des années 70 ou au début des années 80. C’était l’une des premières super cars japonaises avec un design mémorable. Le Dome Zero était une petite entreprise automobile japonaise dédiée à la production de modèles de course et de route coûteux. La production a commencé en 1976 et s’est poursuivie jusqu’en 1986, mais on ne sait pas combien de voitures ils ont construites.

Le Dome Zero était équipé d’un moteur six cylindres SACT de 2,8 litres développant 147 chevaux. Bien que cela ne semble pas beaucoup, la voiture était extrêmement légère, donc les performances étaient respectables. Malheureusement, Zero n’a jamais terminé le processus d’homologation, donc leur carrière de course a été courte et infructueuse.

• Mitsuoka Orochi

L’une des super cars les plus obscures au monde vient du Japon sous la forme de la Mitsuoka Orochi. C’était un biplace au look cool avec des portes Lamborghini et un design controversé. La société Mitsuoka était célèbre pour la construction de voitures restaurées basées sur des modèles réguliers. Cependant, en 2006, ils ont décidé d’entrer sur le marché des super cars avec la très exclusive Orochi.

Ils ont nommé la voiture d’après un dragon japonais mythique à huit têtes qui a influencé la conception de la voiture. Même s’ils ont basé l’Orochi sur la plate-forme Honda NSX, il est propulsé par un moteur V6 Toyota de 3,3 litres développant 240 ch. Cette voiture est légère et agile, donc les performances sont pour le moins satisfaisantes. Ils n’ont jamais eu l’intention de vendre l’Orochi en dehors du Japon ou de certains marchés asiatiques sélectionnés, surtout pas aux États-Unis.

• Tatra MTX V8

L’ancienne entreprise automobile tchèque Tatra produisait des berlines de luxe derrière le rideau de fer. Mais en 1991, un groupe de jeunes ingénieurs talentueux a décidé de fabriquer une super car en utilisant la technologie de course et un moteur Tatra V8. Et ils ont nommé le résultat Tatra MTX V8. Tatra a dévoilé la voiture au salon de l’automobile de Prague. Le MTX V8 a reçu de nombreuses commandes, mais la production s’est avérée difficile, ils ont donc annulé le projet. Ils n’ont terminé que quatre voitures, ce qui est dommage. Le MTX V8 n’a jamais eu la chance de courir contre des Ferrari, des Porsche ou des Maserati.