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Sélection des meilleurs boutons de démarrage

Parce qu’on peut se passer de clef de contact et faire les choses bien quand même


Alfa Romeo Giulia

Un bouton de démarrage sur le tableau de bord, c’est banal. On ne saurait dire pourquoi, mais ça a quelque chose de plus satisfaisant sur le volant. Plus italien, peut-être. Audi le fait dans la R8. Beaucoup de Ferrari aussi. Mais l’Alfa Romeo Giulia a tenu à offrir cette petite touche d’exotisme sur sa familiale, aussi bien sur la GTAm que sur une paisible version Diesel.

Mini Cooper


La Mini moderne a perpétué la traditionnelle rangée de poussoirs sur la console centrale de son ancêtre. On met le contact d’une pichenette sur cette petite langue qui déborde au milieu la planche de bord, comme sur une couverture des Stones.

Aston Martin DB11


La plupart des voitures ont un bouton de démarrage en plastique. Certaines ont recours au métal, pour plus de cachet visuel et tactile. Il y a encore mieux : le verre, comme sur l’Aston Martin DB11. À condition de passer un petit coup de chiffon dessus après chaque démarrage, parce que les traces de doigts… Une chose est sûre, ce bouton remplace avantageusement l’horripilant ECU (« emotional control unit » pfff) des anciens modèles, une clé en verre certes tout aussi chic mais qu’il fallait insérer en haut de la planche de bord en appuyant ni trop, ni trop peu et en priant pour que ça fonctionne du premier coup.

Honda Civic Type R (2007)


Rouge, monté sur la planche de bord, ce bouton n’a rien de particulier à première vue. Sauf qu’il est particulièrement agréable à actionner : son toucher bien lisse, sa taille généreuse, son ressort un peu dur… Mettre ainsi le contact sur la Civic ne faisait que renforcer le côté vaisseau spatial qui a fait le succès de cette génération, comme si le bouton avait été piqué dans la salle de contrôle d’un silo de missiles nucléaires où il était voué à déclencher l’apocalypse. On en fera bien meilleur usage en démarrant ce VTEC atmosphérique.

McLaren F1


Le bouton qui donne vie à l’un des plus beaux moteurs de l’Histoire n’est même pas marqué : un petit bouton rouge tout bête, seulement caché par un clapet de sécurité. Son inspiration vient des meilleurs amis du designer de supercar, l’avion de chasse. Dans un Rafale, ça empêche de tirer un missile par inadvertance. Dans la F1, ça fait partie du cérémonial pour démarrer le V12 6.1 atmosphérique signé BMW.

Lamborghini Aventador


Encore une émule de l’aviation militaire (pour la furtivité, en revanche, c’est raté)… Comme la Huracán et l’Urusl’Aventador a un petit couvercle rouge au-dessus de son bouton de démarrage.

Mercedes SLR McLaren


On réveillait le V8 5.5 à compresseur de la McMerc via un bouton au sommet du sélecteur de la boîte auto cinq rapports. Même si son cache était désagréablement plastoc, presser ce dernier faisait à peu près le même effet que faire exploser les charges d’un immeuble en démolition. Et au moins autant de bruit.

McLaren Senna


Un bouton de démarrage sur le plafonnier. Si vous rêviez d’être pilote de ligne pour bidouiller des trucs au-dessus de votre tête, mais que vous avez raté le concours, vous pouvez toujours commencer à économiser pour la bête de circuit de McLaren. Bonne chance.

Volvo XC90


Ce n’est même pas un bouton, c’est une sorte de petite molette guillochée qu’il faut faire légèrement pivoter vers la droite. Et les moteurs qu’elle démarre n’ont rien de particulièrement intéressant. Mais c’est un bel exemple du souci du détail des designers Volvo, qui n’étaient pas forcés de s’attarder sur un élément aussi trivial mais qui l’ont fait, et bien fait.

Source: topgear

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